Il n'est parfois pas facile de différencier entre des symptômes causés par une allergie ou une simple intolérance. Bien entendu, on ne parle pas ici d'une allergie foudroyante comme celle aux noix ou aux fruits de mer, mais d'une dont les résultats sont moins reconnaissables. En vérité, on peut avoir une réaction allergique à n'importe quel aliment; le système immunitaire produit alors des anticorps et les tests sanguins révèlent un taux élevé d'immunoglobulines E. Pour faciliter la lecture du texte, le terme allergie sera utilisé mais inclura les intolérances alimentaires.
Certains allergologues confirment que bien que certains symptômes apparaissent rapidement après l'ingestion d'un aliment allergène, ce n'est pas toujours le cas. Ceux comme les brûlures d’estomac font habituellement leur apparition dans les 30 minutes à 3 heures suivant l’ingestion de l’aliment problème et les maux de tête dans les 2 à 6 heures, mais d'autres manifestations comme les douleurs musculaires et les ulcères buccaux peuvent apparaître jusqu'à 72 heures plus tard. La fatigue est un grand symptôme d'allergies alimentaires bien que l'on fasse rarement le lien; elle peut être immédiate, ou de 6 à 24 heures plus tard.
Lorsque l'on parle de réactions à un aliment, notre pensée se tourne rapidement vers les plus connues comme le mal de tête (vin, fromage), les crampes abdominales et la diarrhée (produits laitiers) ou l'urticaire (rougeurs - fraises, colorants alimentaires). Mais en fait, tous les organes du corps peuvent être affectés par les allergies et les intolérances aux aliments. On a dénoté plus d'une centaine de symptômes dont certains sont liés à des états sérieux et souvent douloureux: la migraine, l’arthrite, la douleur musculaire et articulaire, la bronchite, la sinusite, l’asthme, l’angine de poitrine, les infections d’oreilles, l’œdème des chevilles, les crampes et douleurs abdominales, l’ulcère duodénal, l’eczéma, les douleurs au cou et au dos, la dysménorrhée (menstruation douloureuse), la sclérose en plaques, la névralgie, le diabète, la dépression et l’énurésie.
Par exemple, bien des gens souffrant d'arthrite confirmeront que leurs symptômes sont aggravés ou déclenchés par l'ingestion de maïs, de blé, de porc, d'oeufs, de produits laitiers ou d'aliments appartenant à la famille des solanacées (tomate, pomme de terre, aubergine, poivre de Cayenne, piment). Par ailleurs, les migraineux savent qu'ils doivent éviter certains aliments dont le chocolat, les fromages forts, le vin blanc, le soja, l’acide aminé tyramine et le glutamate monosodique. On ne peut donc plus mettre en doute qu'il existe véritablement un lien entre certains symptômes douloureux et les aliments que l'on ingère. La tenue d'une liste dans un petit carnet de tout ce que l'on mange peut être très utile afin de détecter les aliments susceptibles de causer de tels désagréments.
Certains allergologues confirment que bien que certains symptômes apparaissent rapidement après l'ingestion d'un aliment allergène, ce n'est pas toujours le cas. Ceux comme les brûlures d’estomac font habituellement leur apparition dans les 30 minutes à 3 heures suivant l’ingestion de l’aliment problème et les maux de tête dans les 2 à 6 heures, mais d'autres manifestations comme les douleurs musculaires et les ulcères buccaux peuvent apparaître jusqu'à 72 heures plus tard. La fatigue est un grand symptôme d'allergies alimentaires bien que l'on fasse rarement le lien; elle peut être immédiate, ou de 6 à 24 heures plus tard.
Lorsque l'on parle de réactions à un aliment, notre pensée se tourne rapidement vers les plus connues comme le mal de tête (vin, fromage), les crampes abdominales et la diarrhée (produits laitiers) ou l'urticaire (rougeurs - fraises, colorants alimentaires). Mais en fait, tous les organes du corps peuvent être affectés par les allergies et les intolérances aux aliments. On a dénoté plus d'une centaine de symptômes dont certains sont liés à des états sérieux et souvent douloureux: la migraine, l’arthrite, la douleur musculaire et articulaire, la bronchite, la sinusite, l’asthme, l’angine de poitrine, les infections d’oreilles, l’œdème des chevilles, les crampes et douleurs abdominales, l’ulcère duodénal, l’eczéma, les douleurs au cou et au dos, la dysménorrhée (menstruation douloureuse), la sclérose en plaques, la névralgie, le diabète, la dépression et l’énurésie.
Par exemple, bien des gens souffrant d'arthrite confirmeront que leurs symptômes sont aggravés ou déclenchés par l'ingestion de maïs, de blé, de porc, d'oeufs, de produits laitiers ou d'aliments appartenant à la famille des solanacées (tomate, pomme de terre, aubergine, poivre de Cayenne, piment). Par ailleurs, les migraineux savent qu'ils doivent éviter certains aliments dont le chocolat, les fromages forts, le vin blanc, le soja, l’acide aminé tyramine et le glutamate monosodique. On ne peut donc plus mettre en doute qu'il existe véritablement un lien entre certains symptômes douloureux et les aliments que l'on ingère. La tenue d'une liste dans un petit carnet de tout ce que l'on mange peut être très utile afin de détecter les aliments susceptibles de causer de tels désagréments.
Bonjour Gisèle,
RépondreSupprimermerci beaucoup pour ce blog riche en informations et joli à regarder.
Nous avons souffert d'allergies et notamment d'eczéma sévère (ma fille Ninon).
Nous ne souffrons plus depuis que nous consommons bio frais et surtout sans laitages et sans blé et céréales mutées.
Intolérance, allergie ? Qu'importe si avec cette alimentation, nous allons bien.
D'ailleurs après deux ans de "régime strict en éviction des laitages", tout le monde dans la famille peut en manger à nouveau exceptionnellement sans aucune conséquence.
Cf détails sur le blog d'entraide contre les allergies que j'ai crée : http://sophieethugues.eklablog.com/article-35895-sans-laitages-animaux-et-sans-ble-et-cereales-dites-mutees.html
Sophie