La glande thyroïde joue un rôle important tant qu’au fonctionnement du système nerveux central. Effectivement, la fatigue, l’anxiété, la dépression ne sont que quelques symptômes d’une thyroïde déréglée. Considérée comme le régulateur central de notre organisme ou encore comme une glande maîtresse, la glande thyroïde et ses hormones thyroïdiennes affectent tous les systèmes du corps.
L’hypothyroïdie se manifeste lorsque la glande n’arrive plus à produire une quantité d’hormones thyroïdiennes suffisante pour assurer le fonctionnement normal de l’organisme. Il s’ensuit un ralentissement des fonctions qui se fera sentir tant sur le plan physique que psychologique. Toute une série de symptômes pourront apparaître selon la gravité de la carence en hormones thyroïdiennes, la santé générale de la personne affectée, son âge, son statut alimentaire et ses antécédents familiaux. Outre les symptômes physiques connus tels la fatigue, le manque d’énergie, la prise de poids, la frilosité, les troubles du sommeil, l’hypothyroïdie a souvent un impact important sur la santé émotionnelle de la personne.
La fatigue chronique, la perte de motivation, la faiblesse, la léthargie et l’épuisement peuvent parfois dégénérer à un état émotionnel plus inquiétant et débilitant. Il arrive que le manque de concentration, les sautes d’humeur, une sensation de tristesse sans fondement, une peur irraisonnée, les pertes de mémoire, la confusion, l’irritabilité, la nervosité, l’anxiété, les attaques de panique et même la dépression s’installent. Ceci s’explique par le fait que le cerveau est très sensible aux hormones sécrétées par la glande thyroïde. Il semble que même une légère diminution du taux d’hormones thyroïdiennes dans le cerveau serait susceptible de causer ces symptômes et ceux de la dépression. D’ailleurs, les manifestations d’hypothyroïdie sont souvent diagnostiquées comme une dépression en premier lieu. L’hypothyroïdie est découverte plus tard alors que les antidépresseurs ne semblent pas apporter les résultats escomptés.
Dans son livre Ton corps dit : aimes-toi!, Lise Bourbeau explique que pour la personne qui souffre d’hypothyroïdie : « son corps lui dit qu’elle désire passer davantage à l’action, qu’elle ne fait pas assez de demandes pour obtenir ce qu’elle veut au plus profond d’elle-même. Elle n’est pas assez en contact avec son JE VEUX. » De son côté, Louise Hay, dans son livre intitulé Heal your body, nous dit que la personne abandonne, qu’elle se sent désespérément étouffée.
L’aspect émotionnel de chaque maladie peut nous livrer un message caché. C’est le cri à l’aide de notre psyché. Il faut en prendre conscience pour mieux guérir. L’hypothyroïdie est souvent liée à un sentiment d’étouffement, une impression d’être victime de sa vie. La personne ne se sent pas en droit d’exiger ce qu’elle désire vraiment, de créer sa vie. Elle a le goût d’abandonner la bataille à force d’insatisfaction, de découragement à attendre son tour en vain. Elle passe son temps à ressasser les problèmes de sa vie, les échecs, les peurs; le négatif ainsi généré épuise la glande thyroïde et l’entraîne progressivement vers le déséquilibre.
L’hypothyroïdie se manifeste lorsque la glande n’arrive plus à produire une quantité d’hormones thyroïdiennes suffisante pour assurer le fonctionnement normal de l’organisme. Il s’ensuit un ralentissement des fonctions qui se fera sentir tant sur le plan physique que psychologique. Toute une série de symptômes pourront apparaître selon la gravité de la carence en hormones thyroïdiennes, la santé générale de la personne affectée, son âge, son statut alimentaire et ses antécédents familiaux. Outre les symptômes physiques connus tels la fatigue, le manque d’énergie, la prise de poids, la frilosité, les troubles du sommeil, l’hypothyroïdie a souvent un impact important sur la santé émotionnelle de la personne.
La fatigue chronique, la perte de motivation, la faiblesse, la léthargie et l’épuisement peuvent parfois dégénérer à un état émotionnel plus inquiétant et débilitant. Il arrive que le manque de concentration, les sautes d’humeur, une sensation de tristesse sans fondement, une peur irraisonnée, les pertes de mémoire, la confusion, l’irritabilité, la nervosité, l’anxiété, les attaques de panique et même la dépression s’installent. Ceci s’explique par le fait que le cerveau est très sensible aux hormones sécrétées par la glande thyroïde. Il semble que même une légère diminution du taux d’hormones thyroïdiennes dans le cerveau serait susceptible de causer ces symptômes et ceux de la dépression. D’ailleurs, les manifestations d’hypothyroïdie sont souvent diagnostiquées comme une dépression en premier lieu. L’hypothyroïdie est découverte plus tard alors que les antidépresseurs ne semblent pas apporter les résultats escomptés.
Dans son livre Ton corps dit : aimes-toi!, Lise Bourbeau explique que pour la personne qui souffre d’hypothyroïdie : « son corps lui dit qu’elle désire passer davantage à l’action, qu’elle ne fait pas assez de demandes pour obtenir ce qu’elle veut au plus profond d’elle-même. Elle n’est pas assez en contact avec son JE VEUX. » De son côté, Louise Hay, dans son livre intitulé Heal your body, nous dit que la personne abandonne, qu’elle se sent désespérément étouffée.
L’aspect émotionnel de chaque maladie peut nous livrer un message caché. C’est le cri à l’aide de notre psyché. Il faut en prendre conscience pour mieux guérir. L’hypothyroïdie est souvent liée à un sentiment d’étouffement, une impression d’être victime de sa vie. La personne ne se sent pas en droit d’exiger ce qu’elle désire vraiment, de créer sa vie. Elle a le goût d’abandonner la bataille à force d’insatisfaction, de découragement à attendre son tour en vain. Elle passe son temps à ressasser les problèmes de sa vie, les échecs, les peurs; le négatif ainsi généré épuise la glande thyroïde et l’entraîne progressivement vers le déséquilibre.
(Voir mon livre L'hypothyroïdie expliquée pour plus d'informations)
Merci pour votre article qui m'a confirmée dans quelque chose que je ressentais, comme une impossibilité d'agir, d'être à l'écoute de mes désirs ; alors que je suis à l'écoute des autres. Je suis diagnostiquée hypothyroïdienne et bipolaire...Ce qui veut dire deux traitements et des syndromes qui se ressemblent. Difficile de faire la part des choses. Je vais chercher votre livre, car c'est à moi à essayer de comprendre.
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