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Soutenir son système immunitaire

Alors que plane sur nous la menace d'une pandémie planétaire de grippe aviaire depuis des mois déjà, nous voilà maintenant aux prises avec la grippe porcine qui s'étend lentement mais sûrement à travers plusieurs pays du monde. Bien que l'on devrait prendre soin de notre corps à temps plein, il n'est jamais trop tard pour s'y mettre. Voyons ensemble ce qu'il y a à faire pour améliorer et renforcer notre système de défense contre les bactéries et les virus, et entre autres, le virus de la grippe en cours.
Le système immunitaire est un ensemble de cellules qui a pour rôle de défendre l’organisme des infections. C’est un système très complexe qui réagit à la présence de tout intrus (virus, bactéries, substances étrangères – allergènes) pour s’en débarrasser. Bien qu’il ne soit pas nécessaire de comprendre tout le processus immunitaire, il est vital de savoir comment garder ce système indispensable en bon ordre.
Il y a plusieurs façons très simples de renforcer ce système de défense :
  • Avoir une alimentation variée, incluant des aliments complets le moins transformés possible (riz brun, quinoa, avoine, blé entier), des fruits et des légumes en abondance, un bon apport de protéines (œuf, fèves, poissons, volaille) et d’acides gras essentiels. Boire 8 verres d’eau par jour. Éviter les gras hydrogénés (margarines, fritures), le sucre, le tabac et l’alcool.
  • Faire de l’exercice régulièrement; pratiquer de façon modérée, elle stimule le système immunitaire, mais en excès, l’exercice épuise le système de défense. La marche, la natation, le ski de fond sont excellents pour renforcer l’immunité.
  • Prendre l’air afin d’oxygéner nos cellules. La lumière du soleil stimule la production de sérotonine dans notre cerveau qui affecte positivement notre humeur.
  • Dormir suffisamment et se permettre des moments de relaxation (lire, écouter de la musique, méditer).
  • Se laver les mains très souvent. Ce simple geste saura sauver la vie des gens et éviter des épidémies. On ne saura jamais assez le répéter. Dites-le à vos enfants encore et encore.

Plusieurs suppléments nutritionnels optimisent le fonctionnement du système immunitaire autant pour les enfants que pour les adultes :

  • Les vitamines et minéraux sont essentiels à la santé et sont souvent déficients dans la diète « fast-food » de nos jours. Les vitamines A, C, E, le bêta-carotène et le sélénium sont des antioxydants qui protègent contre les radicaux libres. Le zinc stimule aussi la multiplication des globules blancs. On devrait prendre un bon supplément de vitamines et minéraux chaque jour pour éviter les carences.
  • Les breuvages verts abondent en vitamines, minéraux, antioxydants et chlorophylle. Ils sont bénéfiques à la santé des cellules et augmentent l’activité du système immunitaire. La chlorophylle liquide, le Green Zone de Nature’s Sunshine en sont d’excellents exemples.
  • L'échinacée (rudbeckie) est reconnue pour fortifier le système immunitaire; très utilisée pour traiter les rhumes et les grippes ou comme moyen de prévention lorsque les gens autour de nous sont malades. Les gens souffrant de maladies auto-immunes doivent l’éviter.
  • Les composés de l'argent sont connus depuis des siècles comme antibiotiques. Nature's Sunshine vous l'offre maintenant sous le nom de Bouclier d'Argent. L'argent pur sous forme colloïdale procure un puissant soutien au système immunitaire, aide à détruire bactéries, virus, champignons et levures. Il aide à soulager l'inflammation.
  • La griffe de chat stimule l’immunité. On lui prête des vertus antioxydantes (contient des proanthocyanidines) anti-inflammatoires et anticancéreuses. On dit qu'elle diminue les effets secondaires de la chimiothérapie.
  • Les probiotiques sont des microorganismes qui travaillent ensemble pour entretenir la santé, surtout au niveau de l'intestin. Plus connus sous le nom d'Acidophillus, ils sont indispensables en temps d'exposition virale. Ils renforcent le système immunitaire.
  • Les herbes de la formule Essiac (E-Tea chez Nature's Sunshine) sont connues depuis des années d’après l’infirmière Renée Caisse qui l’a fait connaître en traitant des cancéreux. L’action dépurative de ses herbes semble stimuler le système immunitaire.
  • Le Pau d'Arco aussi connu sous le nom de Lapacho (nom de l’arbre d’où il provient) est acclamé depuis des siècles pour ses vertus guérissantes. On sait maintenant qu’il a des propriétés antibiotiques et anticancéreuses.
  • Les proanthocyanidines (extrait d'écorce de pin maritime et les extraits de pépins de raisin) plus connus sous l’étiquette de Pycnogénol (Grapine grande puissance chez NS) ont des vertus antioxydantes prouvées qui stimulent le système immunitaire à être à son meilleur.

La plupart de ces produits sont disponibles dans tout bon magasin de produits naturels. Ils sont tous disponibles aussi chez Nature's Sunshine, où vous pouvez vous les procurer par internet ou par téléphone. Pour plus de renseignements : http://www.naturessunshine.ca ou contactez-moi.

L'arthrite et l'alimentation

Si vous souffrez d'arthrite, vous anticipez probablement les temps humides et froids qui semblent raviver la douleur et l'inflammation. Mais saviez-vous que l'alimentation a aussi un lien avec l'arthrite?

Plusieurs aliments que l'on mange régulièrement contribuent à augmenter la douleur arthritique. Certains augmentent le taux d'acidité dans le sang alors que d'autres ne semblent tout simplement pas convenir aux arthritiques (on inclut ici les fibromyalgiques). Parmi ceux à éviter, on trouve le sucre, la farine blanche, les produits laitiers, le sel, la viande (surtout la rouge), le café, le thé, l'alcool, les boissonss gazeuses, les légumes de la famille des solanacées (tomate, pomme de terre, aubergine et piment), ainsi que tous les aliments auquels on démontre une allergie ou une intolérance (gluten, arachides, maïs, orange, etc.). Plusieurs aliments sont au contraire tout à fait bénéfiques lorsqu'on est affligé d'une maladie arthritique. Ces aliments à pivilégier sont les poissons riches en oméga-3, tous les légumes verts et oranges et les aliments alcalins.

Plusieurs nutriments et adjuvants phytothérapeutiques aident à réduire l'inflammation et à combattre la douleur: acides gras essentiels (huile d’onagre, de lin, de poisson), vitamines antioxydantes A, B, C, E, bore, cuivre, magnésium, manganèse, sélénium, zinc, boswellie, chondroïtine, écorce de chêne blanc, enzyme digestive, gingembre, glucosamine, griffe de chat, griffe du diable, luzerne, MSM, saule blanc, trèfle rouge, yucca.

Les toxines environnementales et leurs effets sur la santé

Notre état de santé est intimement lié à l’air que nous respirons, à la nourriture que nous mangeons et à l’eau que nous buvons. A tous les jours, nous sommes bombardés par des toxines de toutes sortes. Notre système immunitaire doit essayer, tant bien que mal, de s’ajuster à une horde d’intrus qui envahissent sans cesse notre corps. La pollution de l’air s’aggrave toujours malgré les efforts de réglementation sur les émissions pour améliorer la qualité de l’air. Les sols où poussent nos aliments de base sont pratiquement dénués d’éléments nutritifs essentiels à la survie de l’homme, et ces denrées sont abondamment arrosées de pesticides et d’herbicides. Et que dire des produits génétiquement modifiés qui sont maintenant chose courante à l’épicerie. Comme il est impossible de vivre sans être exposé à cet arsenal toxique, il faut apprendre à mieux les reconnaître pour minimiser ainsi les contacts non obligatoires.

Il est difficile d’imaginer qu’une journée « normale » peut changer notre système immunitaire en un territoire de guerre, alors qu’il est appelé à trier et à combattre un nombre incessamment croissant de produits nuisibles à la santé de l’être humain. Dès le matin, on ouvre les yeux au son du radio-réveil qui émet un champ électromagnétique tout près de notre tête. Question de propreté, on utilise un antisudorifique à l’aluminium, un dentifrice parfumé au fluor, et un bon parfum. Vient ensuite le voyage en voiture dans le trafic aromatisé au monoxyde de carbone, puis la journée de travail devant l’ordinateur dans un environnement bruyant à l’air vicié, sans oublier les pauses-café accompagnées d’aliments souvent peu nutritifs, puis le retour à la maison où nous attendent le souper réchauffé au four à micro-ondes et une soirée devant la télévision. Ajoutons à ce portrait la possibilité d’autres produits toxiques, telles la colle du tapis neuf, les moisissures autour du bain et la fumée de cigarette, et voilà que notre compte toxique de la journée est largement dépassé.

Peu de gens réalisent l’impact de l’environnement où l’on vit sur notre santé. Pourtant, plusieurs faits sont bien connus. Par exemple, on sait que 40 à 60% des asthmatiques souffrent d’asthme extrinsèque qui est déclenchée par des allergènes communs tels que la poussière de maison, le pollen, les animaux, la fumée de cigarette, ainsi que des intolérances à certains aliments et additifs alimentaires. D’ailleurs la prévalence de l’asthme a quadruplé chez les enfants canadiens depuis 20 ans. Et qu’en est-il de la relation entre l’exposition aux pesticides et certains cancers, comme la leucémie chez les enfants jouant sur des gazons arrosés de pesticides et d’herbicides. D’après plusieurs études, les pesticides seraient aussi responsables de perturbations du développement, d’affaiblissement du système immunitaire, d’avortements spontanés ainsi que de l’augmentation des cas rapportés de stérilité.

On diagnostique maintenant de plus en plus de personnes hypersensibles aux produits chimiques. Pour ces gens, certains médecins affirment qu’une simple odeur de parfum peut déclencher une panoplie de symptômes allant du malaise, aux troubles neurologiques et même jusqu’à la mort. Si on considère qu’il y a plus de 70 000 composés chimiques couramment utilisés dans notre environnement, et donc la toxicité à long terme est inconnue, il n’est pas surprenant que le nombre de maladies mystérieuses continue d’augmenter.

L’Organisation Mondiale de la Santé continue d’étudier, entre autres, les effets des champs électromagnétiques sur la santé. Pour l’expliquer de façon très simplifiée, les champs électriques peuvent affecter le système nerveux et endocrinien (production d'hormones), alors les champs magnétiques peuvent perturber le fonctionnement cellulaire (gènes). Les champs magnétiques (lignes haute tension, télévision, tubes fluorescents et lampes halogènes, radio-réveil, rasoir électriques, séchoir à cheveux, four à micro-ondes…) sont généralement plus dangereux que les champs électriques (lignes haute tension, câbles électriques, rallonges, couvertures électriques, matelas à eau, radio-réveil…).

D’après plusieurs études, notamment, par le Centre international de recherche sur le cancer et l'Organisation mondiale de la Santé, il semble que la pollution électromagnétique puisse avoir les effets suivants: maux de tête, malaises, nervosité, dépression, difficulté de concentration, insomnie, une diminution de la défense immunitaire, augmentation des fausses couches, diminution de la sécrétion de mélatonine, de même qu’à long terme, selon l’exposition et la résistance de l’individu, des risques accrus pour différents cancers et la leucémie.

Les sources de toxines environnementales sont innombrables et impossibles à éviter. L’éducation reste notre meilleur outil de défense. Le fait de les reconnaître nous aide à éliminer celles qui sont inutiles à notre survie, et ce surtout dans notre propre maison. Par exemple, il s’avère assez simple d’éviter chez-soi l’usage des produits nettoyants nocifs (le vinaigre et le soda sont des bons substituts), des déodorants et parfums contenant souvent des solvants pétrochimiques, l’utilisation de chandelles et d’encens d’où émanent souvent des produits hasardeux, la peinture et le vernis (donnez les restes au recyclage pour les démunis) ainsi que les solvants, l’exposition aux gaz de combustion et aux produits du nettoyage à sec.

Une autre source de toxines environnementales sont les moisissures qui prolifèrent dans les milieux humides comme les sous-sols. Les infestations importantes sont visibles à l’œil nu ou perceptibles par leur odeur. Elles entraînent souvent des symptômes désagréables comme le nez qui coule, les yeux qui piquent et les éternuements ainsi que la fatigue non expliquée. On peut les neutraliser en utilisant de l’eau de Javel (une fois n’est pas coutume) diluée dans de l’eau chaude.

Des études nous confirment que les métaux lourds sont la cause de plusieurs troubles de santé et, malheureusement, ils sont présents dans l’air, dans le sol et dans une quantité étonnante de produits courants. On peut mentionner le mercure qui est retrouvé dans les amalgames dentaires, dans les vaccins et dans certains poissons. Le mercure peut affecter le système nerveux central, les reins et le foie et on pense qu’il contribue à l’autisme et à la sclérose en plaques. Malheureusement, bien que le plomb fut banni des peintures et de l’essence vers les années 70, on le retrouve encore trop souvent dans les gaz d’échappement, les teintures à cheveux, certaines poteries, la fumée de cigarette, etc. Le plomb attaque le système nerveux, les reins, les os, le cœur et le sang. L’aluminium aussi abonde de nos jours, étant un composant des antisudorifiques, de la poudre à pâte, de l’aspirine, de l’eau, du rouge à lèvres et de bien d’autres produits. Il semble plus nuisible aux os, aux reins, à l’estomac et au cerveau. Plusieurs recherches suggèrent qu’il puisse contribuer à la maladie d’Alzheimer, au Parkinson et à la démence précoce.

Trop de gens pensent que les autres s’occuperont du problème de la pollution environnementale. Pourtant, si chacun contribuait sa petite part, en commençant par son lieu de résidence puis en partageant ses connaissances au travail et avec les amis, les résultats pourraient être étonnants. Il existe une multitude de moyens de prévention simples qui pourraient assurer que nos enfants jouissent d'un avenir sain.

Pour un tableau de situations problématiques et des risques encourus: http://www.gisele-frenette.ca/articlesF/toxines_environnementales.htm

Buvez-vous assez d'eau?

Il est bien connu que l'eau est l'élément le plus essentiel à la survie après l'oxygène, mais malgré tout il semble qu'environ 75% des Nord-Américains souffrent de déshydratation chronique. En effet, peu de gens boivent les huit verres d'eau par jour tel que recommandé par les médecins. C'est dans nos pays occidentaux, où l'on n'a aucune difficulté à s'approvisionner en eau potable et où on peut étancher notre soif quand bon nous semble, que l'on néglige le plus souvent de bien s'hydrater. Pourtant, l'eau assure de nombreuses fonctions dans le corps humain; elle assiste la digestion et la circulation, régularise la température du corps, est nécessaire au bon fonctionnement enzymatique et hormonal, participe à l'absorption des nutriments et à l'élimination des déchets.

D'après les experts, plusieurs troubles de la santé peuvent être liés à une déshydratation chronique dont la fatigue et le manque d’énergie, l'urine foncée, la constipation, l'irritabilité, l'anxiété, les désordres digestifs, l’altération de la tension artérielle, la gastrite et les ulcères d’estomac, les problèmes respiratoires, l’obésité (la soif étant confondue avec la faim), les troubles inflammatoires de la peau (les toxines moins diluées seront plus irritantes), les infections urinaires, les douleurs articulaires et le vieillissement prématuré. Une personne déshydratée a plus tendance à l'acidification de l'organisme causée par un déséquilibre acido-basique, ce qui ouvre la porte à l'inflammation et à des états douloureux.

Les gens disent souvent ne pas ressentir la soif. Il faut être à l'écoute de cette petite voix qui nous dit d'aller boire un verre d'eau. Combien de fois l'avez-vous ignorer aujourd'hui? Il arrive que la sensation de soif soit moins évidente chez les personnes âgées, mais il est quand même très important de boire de huit à dix verres d'eau par jour. De plus, notre corps a besoin de plus d'eau si la température ambiante est très élevée ou lors d'une activité qui augmente le degré de transpiration. Il faut aussi noter que le thé, le café et l'alcool sont des diurétiques qui au lieu d'hydrater, augmentent l'excrétion des liquides.

Le fer

Le fer joue un rôle essentiel dans l'organisme. Il est nécessaire, entre autres, à la production de l'hémoglobine (protéines des globules rouges), indispensable au transport de l'oxygène des poumons vers toutes les cellules du corps, stimule le système immunitaire, accroît la vitalité et la concentration. La vitamine C est nécessaire à l'absorption du fer. La grossesse amène un plus grand besoin en fer.

Voici une liste de symptômes que l'on peut observer lorsqu'il y a une carence en fer:
  • anémie
  • pâleur de la peau
  • fatigue générale, diminution de l'énergie
  • faiblesse
  • irritabilité
  • manque de vitalité
  • étourdissements
  • respiration haletante
  • essoufflement
  • sensation d'un manque d'oxygène
  • palpitations cardiaques
  • concentration difficile
  • troubles d'apprentissage
  • perte de mémoire
  • ongles cassants avec rayures longitudinales, de couleur très pâles
  • constipation
  • chute des cheveux
  • dessèchement de la peau
  • manque d'appétit
  • difficulté à avaler
  • fissures ou craquelures sur la langue et les lèvres.

L'ostéoporose: une épidémie silencieuse

L’ostéoporose est une maladie évolutive qui affecte plus de 200 millions de femmes et d’hommes à travers le monde. Il s’agit d’un mal insidieux où il y a une perte graduelle de la masse osseuse. Les os deviennent progressivement de plus en plus fragiles et le risque de fractures, particulièrement de la hanche, de la colonne et du poignet s’accroît. La fracture est souvent le premier symptôme de l’ostéoporose car cette maladie ne cause pas de douleur comme telle.

On ne connaît toujours pas sa cause exacte bien que certains facteurs augmentent les risques d’en souffrir. Par exemple, on sait que certaines maladies comme celles qui diminuent l’absorption des nutriments (maladie de Crohn, intolérance au gluten) et d’autres comme les troubles thyroïdiens sont souvent associées à une diminution de la masse osseuse. Certains médicaments, entre autres, les glucocorticoïdes, les anticonvulsivants, les antiacides contenant de l’aluminium et les antidépresseurs sont des facteurs secondaires pouvant contribuer à l’ostéoporose.

Quelques statistiques canadiennes:
o Chez les gens de plus de 50 ans, une femme sur quatre et un homme sur huit en seront atteints;
o 80% des 25 000 fractures de la hanche au Canada chaque année sont reliées à l’ostéoporose;
o La fracture de la hanche entraîne un taux de mortalité de 20% des cas et l’invalidité de 50% des survivants.

Le calcium est un élément vital dans la lutte et la prévention de l’ostéoporose. En consultant le site
http://www.osteoporosecanada.ca vous trouverez toute l’information nécessaire concernant vos besoins en calcium ainsi que les sources alimentaires de ce nutriment essentiel. La prise d’un supplément de calcium allié à la vitamine D et au magnésium pour assurer son absorption est un pas dans la bonne direction. Ajoutons à ce programme de l’exercice physique régulier, autant la marche, la danse, la natation que l’haltérophilie et les bienfaits en seront décuplés.

L’ostéodensitométrie est un test simple et indolore qui sert à mesurer la densité minéral osseuse. Plusieurs médicaments sont aussi disponibles pour les cas plus sérieux où les grands moyens peuvent être nécessaires.

Bien manger, c'est simple!

On ne sait trop quand exactement, mais la question de bien se nourrir est devenue d’une complexité étonnante. Nos ancêtres devaient trimer dur pour assurer leur survie. Leur choix de nourriture dépendait en partie des saisons, et sa conservation était difficile. Pourtant, l’ère d’abondance alimentaire que nous vivons ne semble pas pour autant avoir réglé tous les problèmes de carences nutritionnelles. Plus que jamais, on se retrouve avec une multitude de gens souffrant de malnutrition, et ce, malgré la quantité de nourriture ingérée. Ne vous laisser pas leurrer par l’apparence physique, car on peut manquer de nutriments de base tout en portant quelques rondeurs superflues. La santé commence au niveau de la cellule et celle-ci a besoin d’aliments de base pour pourvoir aux besoins du corps.

Nous savons tous qu’il faut manger plus de fibres, moins de sucre, moins de gras saturés et boire plus d’eau. Ce que nous oublions souvent est que la nourriture n’a pas besoin d’une préparation longue et compliquée pour combler nos besoins nutritifs. Il suffit d’avoir une alimentation diversifiée. En plus de suivre le guide alimentaire, ajoutez beaucoup de couleurs dans votre assiette. La couleur des fruits et légumes égale vitamines et minéraux. Ajoutez des céréales et des protéines et le tour est joué. Nul besoin de haute cuisine pour manger sainement. Examinons quelques aliments de plus près.

L’œuf est un aliment que nous connaissons tous, mais que plusieurs évitent par peur de l’hypercholestérolémie. En fait, l’œuf est un aliment quasi parfait. C’est une excellente source de protéines et si facile à préparer. On a tort de penser que l’œuf augmente le taux de cholestérol dans le sang. En fait, les coupables de cette infraction seraient plutôt le café, l’alcool, le sucre, les additifs et les gras « trans ». Ceux-ci congestionnent le foie et génèrent une bile de mauvaise qualité. Comme le rôle de la bile est de nous débarrasser du mauvais cholestérol, il faut qu’elle soit d’une bonne concentration pour faire son travail. Les œufs contiennent du bon cholestérol; celui-ci est nécessaire à la fabrication des hormones, de la membrane cellulaire et de la bile.

Le jaune d’œuf contient de la lécithine. C’est une sorte de gras qui permet à la bile de briser le cholestérol en gouttelettes et de l’éliminer par le foie. On en déduit donc que si l’on souffre d’hypercholestérolémie, on doit d’abord nettoyer son foie. Mais on s’éloigne du sujet du jour. Le jaune d’œuf contient aussi de la biotine (vitamine B pour les ongles cassants), du chrome (diminue la pression dans le globe oculaire lors du glaucome) et de la lysine. L’œuf offre, entre autres, de la vitamine D et du zinc qui sont essentiels au système immunitaire, les vitamines B6 et B12, et du sélénium (antioxydant). On peut facilement ajouter quatre œufs au menu de la semaine en évitant de les frire, évidemment.

L’avocat est un fruit délicieux qui agrémente bien une salade verte. Il est une excellente source de gras mono-insaturés (bon gras), dont les omégas-3 et les omégas-6. L’avocat fournit aussi du magnésium (nécessaire à l’absorption du calcium), du potassium (essentiel pour maintenir une bonne tension artérielle, important pour les gens qui prennent des diurétiques), les vitamines A, B dont la B 6, C, E et K, ainsi que du cuivre, du fer et du calcium. De plus, il contient tous les acides aminés essentiels dont le glutathion, un puissant antioxydant. Alors, pourquoi s’en passer?

L’ananas est un fruit intéressant qui est souvent apprécié pour sa teneur en broméline, une enzyme bienfaisante pour la santé. Il est riche en vitamine C et en manganèse; il contient aussi du cuivre et quelques vitamines du groupe B. Laissez l’ananas amener un peu de soleil tropical à votre menu hivernal.

Les amandes sont une source intéressante de protéines, de fibres et de gras monoinsaturés (bon gras). Elles peuvent aider à réduire les taux de mauvais cholestérol. Elles renferment beaucoup de minéraux dont le magnésium, le manganèse (cofacteur de plusieurs enzymes), le cuivre (nécessaire à la formation de l’hémoglobine et du collagène), le phosphore (santé des os et des dents), le fer (formation des globules rouges), le zinc, le calcium et le potassium (essentiel à l’équilibre acido-basique). Les amandes sont aussi une bonne source de vitamines dont plusieurs vitamines du groupe B et la vitamine E (antioxydant important).


Bien s’alimenter peut être facile. Il s’agit avant tout d’apprendre à bien connaître les aliments de base. Considérez les aliments avec une très longue liste d’ingrédients aux noms étranges comme possiblement nuisibles à la santé et consommez-en peu. On a tous à l’occasion des journées si occupées que la meilleure volonté du monde ne suffit pas. On peut alors faire appel à certains suppléments alimentaires contenant des protéines, des glucides, des acides gras, des vitamines et des minéraux. Bien manger, c’est simple!

Consultation travailleuse sociale en ligne

Voici un service en ligne que je viens de découvrir et qui m'épate par son côté innovateur dans le domaine du travail social et de la relation d'aide. Isabelle Héon est la première membre de l'Ordre des Travailleurs Sociaux du Québec à offrir un tel service. Ce service vise les gens à mobilité réduite pour qui le tranport peut causer problème, les gens qui ne désirent pas d'étiquette lors d'une attente dans une salle de consultation ainsi que les gens qui désirent avoir un service de relation d'aide que ce soit au bureau ou ailleurs, et ce, au moment qu'ils le désirent.

Le travailleur social a une clientèle très variée. Que ce soit les personnes âgées, les familles, les enfants, etc. Il travaille diverses problématiques comme le fait un psychologue. La différence réside dans le fait qu'il peut se déplacer dans les milieux et qu'il ne fait pas nécessairement que du bureau. On retrouve les travailleurs sociaux dans divers domaines tels que les écoles, les hôpitaux, les organismes en santé mentale, etc.

Madame Héon offre 2 types de service. Le premier est un service d'échange de courriels. La personne lui expose son problème et ils en discutent en retour de courriel. Elle lance des outils d'intervention afin que la personne puisse reprendre du pouvoir sur sa vie et ainsi obtenir une meilleure qualité de vie. Le deuxième service est un service de consultation par webcam. Elle effectue donc une rencontre thérapeutique avec un client, et ce, dans le confort de son salon.
Pour plus d'information: http://www.travailleusesociale.com

La lobélie

La lobélie est la plante dont je ne voudrais pas avoir à me passer. Elle me suit partout. À la maison, j'en ai toujours quelques bouteilles à l'avance dans l'armoire, il y en a une dans mon sac à main, au bureau de mon conjoint, chez ma fille et probablement aussi chez plusieurs de mes amis et clients. Pourquoi? Parce que c'est une plante adaptogène qui dépanne facilement et souvent. Quelques gouttes suffisent à soulager les maux de tête, la douleur menstruelle, les douleurs articulaires et musculaires, l'anxiété (même les crises de panique), la toux (aide à expulser le mucus), la fièvre, l'insomnie, les crampes intestinales, etc... Appliquée sur une piqûre d'insecte, la démangeaison disparaît. Une potion magique très utile en voyage.

Les fibromyalgiques pourraient aussi en profiter car plusieurs d'entres eux deviennent rapidement moins tolérants à certains médicaments, dont ceux pour la douleur. Moins puissante qu'un analgésique comme la morphine, il n'en reste pas moins que sa propriété antispasmodique diminue rapidement la douleur pour au moins la rendre tolérable. Alors pourquoi s'en passer? Voici un court extrait de mon livre Dites non à la douleur à ce sujet.

" La lobélie, aussi nommée tabac indien, est une plante originaire du Canada et des États-Unis. On la cite pour ses nombreuses propriétés médicinales: antispasmodique, émétique, stimulante (petites doses), relaxante (grandes doses), sédative, expectorante et diurétique. Elle est utilisée pour traiter l’asthme, l’otite, la coqueluche, la bronchite chronique, l’emphysème, et elle aide au sevrage du tabac. Son action antispasmodique soulage les douleurs lombaires, ainsi que celles provoquées par les entorses et les douleurs menstruelles. Prise en trop grande quantité, elle peut causer des troubles sévères, mais comme un abus amène rapidement des vomissements, il est presque impossible d’en souffrir. La lobélie n’est pas recommandée aux diabétiques, aux femmes enceintes ou qui allaitent."

Il faut toujours être très prudent lorsque l'on prend plusieurs médicaments chimiques et que l'on veut ajouter des produits naturels. "Naturel" ne veut pas dire sans danger! La lobélie peut, par exemple, potentialiser (augmenter) l'effet de certains remèdes pour l'hypertension. Elle peut aussi interférer avec l'effet de certains médicaments utiliser pour contrôler le diabète, incluant l'insuline. Il n'y a pas de problème en ce qui concerne l'hypoglycémie. Bien entendu, comme la lobélie est habituellement prise au besoin et non de façon continue, les dangers sont moins importants, mais il faut quand même les respecter.